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Vénérable Lama Gyourmé

Lama Gyourmé est un maître authentique qui enseigne le bouddhisme tibétain en France depuis 1974, date à laquelle ses maîtres, Kalou Rinpoché et le XVIème Karmapa lui ont confié cette mission.

De haut en bas : Gyaltsab Rinpoché, Shamar Rinpoché, Situ Rinpoché, Kongtrul Rinpoché, Pawo Rinpoché, Sa Sainteté le XVIe Karmapa, Béru Khyentsé Rinpoché, Bokar Rinpoché, Kalou Rinpoché, Lama Gyourmé, Lama Gyaltsen.

Lama-Gyurme-1Né au Bouthan en 1948, il sera confié au monastère à l’âge de 9 ans. Il y recevra les enseignements bouddhistes complétés par un solide apprentissage des arts traditionnels dont le chant.

Il avait à peine dix ans lors de sa première rencontre avec Kalou Rinpoché.

Celui-ci, grand maître spirituel de l’école Kagyu fut sollicité par les premiers occidentaux venus étudier et pratiquer le bouddhisme tibétain en Inde auprès de lui vers la fin des années soixante afin qu’il vienne transmettre sa connaissance en occident.

Il accéda à leur requête et par la suite, il délégua plusieurs de ses Lamas au Canada et dans plusieurs pays d’Europe.

Pour la France, Kalou Rinpoche missionna Lama Gyourmé.

Kalou Rinpoché et Lama Gyourmé construiront Kagyu Dzong, premier temple tibétain à Paris qui sera inauguré en 1985. Pour transmettre au mieux le bouddhisme, le lieu doit être adapté afin de recevoir ceux qui veulent étudier cette philosophie et accueillir les visiteurs.

 

Antérieurement à la construction du Temple de Kagyu Dzong, l’institut Vajradhara Ling sera créé en 1981, dans un domaine situé près de Lisieux en Normandie.

Lama Gyourmé y construira un stupa, monument symbolisant l’Eveil du Bouddha. Ce temple entièrement décoré de fresques sur les murs et le plafond sera dédié à la prompte renaissance du XVIIème Karmapa et à la Paix dans le monde.
Une propriété provenant d’une donation deviendra Mahamoudra Ling, le centre de retraite de Kagyu Dzong et de Vajradhara Ling.

En 2011, le centre Drayang Ling vient de voir le jour. Il est situé près de Barcelone.

Pour enseigner et diffuser le bouddhisme afin de remplir la mission confiée à lui par ses maîtres, d’aider les occidentaux en quête du sens profond à donner à leur vie de trouver le chemin qui mène à la Paix intérieure, Lama Gyourme accomplira donc tout d’abord une réelle œuvre de “bâtisseur”, c’est le “Lama constructeur”. Son objectif : offrir à tous le lieu le plus propice à l’étude, la réflexion, la méditation.

Pour aller encore plus loin et toucher ainsi le plus grand nombre , il osera allier aux chants sacrés tibétains la musique moderne. C’est alors la remarquable rencontre avec Jean-Philippe Rykiel : ils seront Disque d’or en Espagne, plusieurs CD verront le jour. Des concerts seront donnés à Paris , dans de nombreuses villes de province et dans le monde entier.

Un dernier CD est sorti fin décembre 2010 « Les chants pour la Paix » . Récemment édité, le CD Chants pour la Paix – Collector Version Prestige de l’album « Chants pour la Paix », ce livre dévoile le trésor des instructions de ces chants traditionnels.

“Chants pour la Paix” est également disponible à la ventes en numérique sur les plateformes suivantes : iTunes, Google Play et Amazon, et en écoute sur Spotify, Fnac Jukebox, Deezer, et Napster.

Les bénéfices de ce CD iront directement à la construction du Temple pour la Paix.

Dans la continuité qui caractérise le parcours de Lama Gyourmé, ce Temple pour la Paix s’inscrit ainsi dans une dynamique de développement et d’épanouissement car bien que d’architecture purement tibétaine, seront organisées dans ses murs en plus des séminaires bouddhistes, des rencontres inter-religieuses.

Ce temple a également pour vocation d’offrir un vaste espace de rencontres culturelles et artistiques ainsi que scientifiques.